Présentateurs animateurs et journalistes des médias, les gâtés du système…
L’avez-vous remarqué l’agressivité permanente de la majorité des journalistes, sur les plateaux de chaines périphériques. Ils sont présentés comme des experts en politique. Avec une adaptabilité au gré des tendances, ils se pensent intouchables. Les animateurs et modérateurs du service public, payés par nos impôts, aux opinions affirmées perdent toute crédibilité mais à quelques nuances près sont suivis par certaines chaines périphériques majoritairement toujours compatibles, les gâtées du système…
Claire-loup@
12 janvier 2025
TROP DE QUESTIONS SUBLIME LES QUESTIONS
Parler de temps nouveau à l’aube d’une nouvelle année est un leurre. L’occasion de faire un ou des bilans peut-être et encore. Tout au long de l’année, les instituts, les statisticiens et les sondages inondent les spécialistes et les experts de données interprétables. L’opinion publique ne s’y retrouve pas, sauf sous l’influence de partisans rôdés à une propagande dûment préparée. Autrement dit en réponse aux questions naturelles que chacun se pose en toute légitimité, il apparait subitement de nouvelles questions qui restent sans réponse. Le besoin de réponse est exploité. Il crée le doute et génère à juste titre ou pas une inquiétude difficile à dissiper. Pour les gouvernants, c’est de promesses en promesses que la tension se résorbe jusqu’aux nouvelles questions que l’absence de résultats immédiats provoque. L’opposition se réjouit d’un sans réponse est se contente de rappeler les questions. Sans opinion las absents du débat ont toujours tort. Pour ne pas échapper à la règle on est en en droit de se poser une question simple sans réponse : où allons-nous ?
Au fil de l’info de la semaine
9 janvier 2025
Un regard sur l’emploi : un bilan 2024 négatif et un début 2025 litigieux
Si on en croit la presse économique, en 2024, le record de 2008 en matière de dépôt de bilan a été battu avec plus de 66000 entreprises dont quelques grands noms. Le nombre ne cesse d’ailleurs de s’accroitre en ce début d’année. Le chômage croît avec près de 300 000 emplois menacés. Un taux de chômage qui friserait dans l’année les 8%. Une croissance difficile à évaluer et un déficit autour de 5,4% pour les plus optimistes. Il ne s’agit pas d’être pessimiste, mais seulement réaliste pour prendre d’autres résolutions.
Amelie.com