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26 mai 2015

L’emploi et les Jeunes

Le sujet m’intéresse. Il est au cœur de l’emploi chez nous, et sûrement aussi dans les autres pays européens. Comment avoir une économie dynamique et performante si dès l’entrée dans la vie active, quelque soit leur parcours antérieur, ils rencontrent le vide professionnel ou enchainent les petits boulots ?

Comment prendre en compte "l’ensemble" de cette population et ne pas se contenter de satisfaire les parcours d’excellence ? Et que dire de l’avenir promis avec une retraite tardive pour éviter des décotes brutales ?

André LH@

20 mai 2015

L’UE face à une conjonction de défis et de mutations

L’UE en tant qu’institution et les pays membres affrontent une conjonction de défis et de mutations : défis économiques, défis sociaux, défis démographique, défis de défense et de sécurité. A ce titre, il faut noter la poussée russe vers les pays baltes et sur l’Ukraine, les Balkans qui sont un volcan en sommeil (cf. les incidents en Macédoine), la menace islamique en Afrique du Nord, au Sahel et au Moyen Orient. A moyen terme, tout cela risque de faire exploser le système. Des pays ou des groupes de pays pourraient sortir du cadre certes très imparfait des institutions européennes et chercher dans un réflexe égoïste à résoudre séparément leurs problèmes.

L’évolution du contexte international, comme "une eau forte plongée dans l’acide", met en lumière tout ce qui manque aux institutions européennes. Dans la plupart des ensembles de pays, fédérations et confédérations (Etats-Unis, Suisse, et alii...) le gouvernement fédéral est responsable de ce que nous qualifions en France de "pouvoirs régaliens", la défense, la sécurité, la monnaie, la politique étrangère, la santé alors que pour l’Union Européenne et de par sa construction, c’est l’inverse.

Si la gouvernance de l’Union n’est pas assez forte pour maintenir le lien de
solidarité entre ses membres, être claire sur les objectifs et mieux
organiser le fonctionnement des institutions afin que tous les membres
mettent tous leurs talents et leur énergie pour sortir l’attelage
européen embourbé dans ses propres ornières, alors l’UE aura vécu et
chaque pays devra affronter seul la compétition globale. Il est désormais
vital que l’UE évolue, mais pas de n’importe quelle manière.

RICM78@

Un coup d’oeil très pertinent...

Tout d’abord, Club Espace 21 tient à remercier MRIC78, l’un de ses proches, pour son signal d’alerte. Les 5 défis qu’il met en avant sont essentiels pour comprendre la situation dans laquelle se situe l’UE. Ses propos sont pertinents et directs. Cela lui permet de souligner la politique européenne du "chacun pour soi" et l’absence de cohérence dans un système auto-bloquant.

Club Espace 21

17 mai 2015

Je dois dire que le seul choix pour parler d’avenir pour l’Europe, ce serait que nos partenaires acceptent de partager les coûts supplémentaires (Défense, social, etc.) et les dettes en cours sur les conflits. Et, les « Mistral » qui va payer ? Les « Mistral gagnants » c’est pour qui ? A cause de qui ? En tant que Français » on peut en avoir assez de payer pour les « autres ». David Cameron, déjà en dehors de la zone euro a décidé de laisser les Anglais choisir : stop ou encore, sous nouvelles de conditions ! Pourquoi on ne déciderait pas la même chose ? Du courage, il en faut. De ce côté là, Bruxelles ne se fait pas de souci en ce qui nous concerne...

Jean-Pierre A. (La Teste – Gironde)

15 mai 2015

Parler pour ne rien dire quand on n’a aucune idée précise sur le sujet évoqué est un devenu un art que nos politiques de tous bords pratiquent de plus en plus. Twitter et Facebook sont là pour mettre en exergue leurs propos sous forme de petites phrases et d’attaques personnelles sans objet qui influencent l’opinion publique. Tous les médias en profitent. Et on se laisse avoir ?

Valerie.Orte82@ (Bayonne – Pyrénées-Atlantiques)

14 mai 2015

Parler encore et quand de la loi Macron. Après une visite au Sénat comme c’était dit dans "Propos de Presse", elle a été revisitée. Je ne crois pas que cela la fera évoluer. De toutes façons, s’agit-il de créer quelques dizaines de milliers d’emplois au maximum en satisfaisant le Medef ou d’aider les vrais entrepreneurs à développer leur entreprise en embauchant ? L’Emploi pour moi, c’est pas pour tout de suite !

HLMK@

9 mai 2015

Il nous en bouche un coin ! C’est bien de David Cameron que je parle. Tout marche au Royaume-Uni ! Un taux de chômage minimum, un taux de croissance supérieur à 2%, que demander de plus ? Il a la volonté de continuer avec des recettes que nous ne voulons pas. Alors ne perdez pas votre temps à prêcher dans le vide pour proposer vos solutions. Vous essayez de les adapter à nos contraintes.

Martin S. (Paris - IdF)

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