Quand va-t-on harmoniser nos politiques sociales, impôts et charges ? Alors quel sens donner à l’Europe ou plutôt à cet ensemble d’Etats européens qui se mêlent de tout et surtout de ce qu’ils ne contrôlent pas.

Jean-Pierre A. (La Teste - Gironde)

20 août 2015

La crise du porc : un révélateur de l ’état de l’économie
française

La crise du porc, de part la fragilité de ce marché, est un révélateur de l’état économique de la France et pourrait s’étendre à d’autres secteurs fragiles de l’économie comme le dit MG83@.

Elle met en exergue tout ce que la politique gouvernementale et européenne a de désastreux pour le futur de la France. Attentisme, laissez-faire, incompétence et surtout, les médias en parlent peu, charges et normes écrasantes qui obèrent pour les petites et moyennes structures tout espoir de redressement à court terme et à long terme. Elle contribue à la disparition du tissu agricole et artisanal de la France.

Le redressement, si un gouvernement responsable s’y attelle, sera long et demandera d’une part un changement complet d’idéologie et d’autre part une remise à plat des régles de concurence en Europe.

RICM78@

Demain, à qui le tour ?

Cet édito détaillé sur la filière porcine va bien au delà de ce problème particulier puisqu’on peut l’appliquer pratiquement à tous les domaines, l’agriculture étant le maillon le plus faible. On pourra dire bientôt dans d’autres secteurs à qui le tour ?

Espérons que, pour notre gouvernement, les prix bas ne seront pas l’occasion de s’attribuer le mérite de juguler le coût de la vie, l’inflation et en aidant le pouvoir d’achat.

MG83@

17 août 2015

Les "plus" à ne pas oublier...

Les excès de la réunionite courrielites et autres ne sont pas nouveaux et étaient déjà au centre des préoccupations de managers dans les années 80. Avec l’arrivée de nouveaux moyens de communication : internet/messagerie électronique, smartphone, réseau sociaux,.... Le phénomène a nettement empiré. L’évaluation d’une demie journée de travail est probablement sous évaluée.

En dehors d’apporter un "plus" certain dans la communication à l’intérieur et vers l’extérieur de l’entreprise, ces nouveaux moyens ouvrent deux dimensions qui étaient peu présentes dans la communication : le rétrécissement du temps c’est à dire l’urgence dans le traitement des affaires et le volume c’est à dire la taille des documents à traiter. Un clic permet de transmettre instantanément des documents de plusieurs centaines de pages qu’il faut traiter rapidement. La synergie urgence/volume est un sujet dont on parle peut mais qui avoir des conséquences importantes sur la vie de l’entreprise.

RICM78@

12 août 2015

L’Europe est-elle une fédération ou une confédération ?

Et si nous n’étions qu’une "pseudo-confédération" dans la mesure où chaque pays la constituant a un gouvernement, un président ou un roi ou un prince, mettant en commun mais à reculons une politique commune (bien inaudible avec un ministre issu d’un pays n’ayant pas accepté l’euro) et une commission non élue qui s’arroge des pouvoirs supérieurs aux parlements de chaque pays ?

Bernard P. (Ile de France)

Migrants en attente à Calais...

Pourquoi ne pas le dire ? Nos « amis » anglais ne font pas partie de la zone euro, pas plus que de Schengen. Manifestement, la frontière n’est pas à Douvres. Pourquoi, est-ce à la France d’assumer ? Alors l’UE, c’est quoi ? Et maintenant, après la Commission européenne qui tousse, voilà que l’ONU s’en mêle…

amelie.com@

3 août 2015

Parler pour ne rien dire, quand on ne sait pas de quoi on parle !

Une émission de « C dans l’air », avec les analystes et les journalistes habituels qui se permettaient de rêver à haute voix de plus d’Europe, pourquoi pas fédérale, en parlant « d’avant-garde » pour la zone euro, autour d’une idée de (Jacques Delors…), émise dans son contexte, rappelée par François Hollande. j’avoue que j’ai perçu une méconnaissance du sujet et une incohérence dans leurs propos. C’est regrettable. Cela promet de drôles de débats politiques sans progresser sur le sujet...

alphademontesquieu@