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7 décembre 2018
Communiqué de CE21 :

Le mouvement des « Gilets Jaunes » est une action nationale de revendications que Club Espace 21 ne veut pas passer sous silence, en faisant mine d’ignorer l’évènement. Il n’en est pas question.

A ce sujet, nous recevons de nombreux avis et commentaires, majoritairement en soutien du mouvement. Compte-tenu de la situation, on assiste à une accélération de l’actualité, relatée par les médias et les chaines périphériques en continu.

Nous aurons l’occasion de revenir, en temps utile, sur les raisons et les motivations profondes de ce mouvement.


Club Espace 21


3 décembre 2018

Qui ose parler de la « faim du mois » ?

Je croyais avoir mal compris. J’ai entendu parler de « fin de la planète » mais aussi de « fin de mois ». Comment gérer les deux « en même temps » ? Je croyais que ça n’était pas la même « échelle de temps » (…) Mais j’ai fini par comprendre que pour être en mesure d’assurer la « faim du mois », il était préférable de « changer de régime ». Pourquoi n’y ont-ils pas penser ?

Remy_Val@


1er décembre 2018

Encore des lépreux !!!

Il est bon de rappeler à ceux qui les auraient oublier les propos de Philippe SEGUIN dans son livre “Discours pour la France” (Grasset - 1992). Tout d’abord, rappelant cette phrase du Général de GAULLE : “La démocratie, pour moi, se confond avec la souveraineté nationale”, il enchaine « On ne pouvait mieux souligner que pour qu’il y ait démocratie, il faut qu’il existe un sentiment d’appartenance communautaire suffisamment puissant pour entraîner la minorité à accepter la loi de la majorité. Et la Nation , c’est par quoi ce sentiment existe et ce par quoi on accède à, la dignité suprême des hommes libres qui se nomme la citoyenneté. Elle ne se décrète pas, ne relève ni de la loi, ni d’un traité. Pour qu’il y ait une citoyenneté européenne , il faudrait une Nation européenne. Mais on ne peut pas décréter une Nation, fut-elle européenne. » Avec les temps qui courent, ces propos sont essentiels.

Aristote

30 novembre 2018

Combien d’Impôts et de Taxes, en tous genres, nous tiennent ?, Régalez-vous...

Faut-il s’armer de patience pour penser qu’on pourrait cesser de nous taxer dans tous les sens ? Non, il n’en est rien. Nos dirigeants sont trop intelligents pour comprendre que ça suffit et qu’on en a marre. Je vous invite d‘ailleurs à en consulter la liste, tranquillement assis dans votre canapé ! La mise à jour n’est pas terminée, mais le nombre de taxes et impôts oscille entre 252 à 259 !

md33@


29 novembre 2018

Où va-t-on avec les Gilets Jaunes ?

Entre un Etat dirigé, bien ou mal n’est pas le problème, centralisé, peut-être trop énarchisé et trop technocratisé, et, des revendications désordonnées et anarchisées, le résultat semble évident. C’est une question de patience pour l’Etat et d’épuisement pour les Gilets Jaunes. Une partie des gens finiront par s’en détacher et les autres n’iront plus voter…

Chantal F. (Rhône-Alpes)


28 novembre 2018

Energie et écologie : une absence de vision et d’approche « globale » partagées !

Qu’il s’agisse de l’environnement, de ce qu’on qualifie de « transition » écologique et désormais de « mal-être » pour un grand nombre de nos compatriotes (gilets jaunes), ce qui me frappe le plus, c’est cette incapacité « historique » de nos dirigeants (de tous bords) à comprendre et à réfléchir avant d’agir.

Le plus bel exemple d’échec est celui des 80 km/h. Cette décision imposée, venue d’« en haut », a réveillé les français très attachés à l’automobile, symbole de liberté individuelle ou de moyen de survie pour les ruraux ; les taxes permanentes à répétition sur le diésel qui se surajoutent, ont déclenché leur furie. Les petits, les obscurs, les sans grades, etc. sont passés à l’action. A qui profitera cette révolte ?

Cette carence de gouvernance ne date pas d’aujourd’hui. Pour l’énergie comme pour l’environnement, aucune vision ou approche « globale » n’ont été partagées. Cette absence de consentement se traduit par une approche « mi-chèvre – mi-chou » difficile à appréhender avec une dette supérieure à 2000 Md€. Comment s’engager dans une démarche cohérente, acceptée par une majorité de citoyens ?

ALPH31@

26 novembre 2018

Chasse au diesel : assez de dire n’importe quoi !

Combattre la pollution et veiller au réchauffement de la planète oui ! Mais il faut cesser de dire n’importe quoi et d’oublier l’essentiel. L’article à la « Une » de CE21, le rappelle, mais faut-il insister encore sur la pollution maritime générée par plus de 17.500 tankers ? Quant aux chantiers de Saint-Nazaine, ils continuent d’en produire ! Qu’attendent-ils pour les reconvertir au « tout » électrique ?

EPL@


22 novembre 2018

La voiture « électrique » face à l’épuisement planétaire des métaux « rares »

Dans l’article sur l’écologie du « tout » électrique, nous avons insisté sur le futur désastre pour l’environnement avec l’exploitation du Lithium et des terres « rares ». Mais je voulais rappeler, en ce qui concerne la fourniture de matières premières, un rapport de l’Institut pour l’Energie et le Transport de PETTEN (UE) qui alerte sur la question des besoins en métaux « rares » comme le Cobalt, indispensable dans la technologie actuelle des batteries. Même problème avec le Nickel, etc.

En 2030, pour l’Union européenne, avec un parc automobile au « tout » électrique majoritaire, la consommation annuelle de Cobalt serait multipliée au moins par 30 et pour le monde entier le besoin dépasserait la totalité de la production mondiale ! C’est ce sur quoi Michaël Torregrossa insiste dans automobile-propre.com.

Comme cela a déjà été évoqué et pour ma part, je reste convaincu que la voiture du « futur » sera une voiture électrique autonome grâce à une pile à combustible Air-Hydrogène. Ces voitures existent. Elles sont rares et bien entendu, très onéreuses. Néanmoins, c’est peut-être dans cette voie de la pile à combustible qu’il faut aller ?

RICM78@


21 novembre 2018

A qui profitent nos taxes perçues pour l’énergie renouvelable éolienne ?

D’abord (cf. rapport de la Cour des Comptes, avril 2018), la somme des subventions consacrées à l’éolien (terrestre et maritime) s’élève à 150 Md€ (Milliards), engagements de l’Etat pour les 20 prochaines années, compte-tenu des surcoûts de production (…) Qui paient ? Les contribuables français au travers du prélèvement d’une taxe écologique sur l’électricité. Qui en tirent bénéfice ? Les sociétés industrielles qui développent l’éolien avec des « surplus » financiers garantis ! C’est Louis Marin qui n’hésite pas à qualifier cette démarche « cachée » d’immense racket de la part des pouvoirs publics !

Nicole N. (IdF)

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