UNE RÉPONSE AMÉRICAINE POUR TANT DE QUESTIONS ENCORE SANS RÉPONSES DANS L’ACTUALITÉ ?

L’évènement majeur de cette séquence concerne le résultat de l’élection présidentielle américaine. Première réponse, une victoire exceptionnelle de Donald Trump, inattendue par son ampleur. Il prendra ses fonctions en janvier 2025. Ce changement de personne, de politique et de ligne de conduite interpelle. Qu’en sera-t-il des conséquences pour la paix en Ukraine et le cessez-le-feu au Proche Orient ? De l’espoir, sans réponse immédiate. Les plus enclins à se poser des questions sont d’abord et avant tout les occidentaux, pour ne pas dire l’Union européenne et bien entendu la France. Côté européen, l’avenir n’est pas optimiste. Où allons-nous ? Au plan stratégique, politique, économique et financier, les dés sont jetés. Un peu de patience. L’Immigration, la drogue et l’insécurité sont des sujets prioritaires. L’image américaine aura-t-elle une influence pour des solutions en Europe ? L’Allemagne est en grande difficulté, la France en pleine confusion. Qu’adviendra-t-il ? L’OTAN à l’ancienne, c’est fini ? Quand au reste du monde, les BRICS, sous la houlette de la Russie et de la Chine, observent et s’organisent.

Au fil de l’info de la semaine

5 novembre 2024

La Commission européenne remet ça ?

En pleine situation adaptative devant un parlement à majorité variable, Ursula Van der Leyen n’hésite pas à modifier son comportement. Les sujets ne manquent pas pour s’en apercevoir. Qu’en est-il de son autorité et de sa gouvernance en solitaire ? Nous n’avons pas à nous inquiéter, c’est dans les détails et les « contraires au règlement » qu’elle se retrouve pour réaffirmer son autorité.

Marsupilami77@

Pas de « saut de génération » dans vos discussions vous risquez de passer pour une ou un imbécile

Difficile de passer son temps à cacher ou à renier les références au passé pour ne pas déranger ou être traité d’imbécile. Ça devient presque systématique avec les moins âgés que nous. En France comme ailleurs probablement, c’est récurrent. Peut-être rien de neuf. Mais dans l’état où on se trouve et leur désintérêt à la "chose actualité". On peut se poser des questions. Notre point de vue n’intéresse pas grand monde. L’avenir du pays doit-il se passer de son expérience, réussites ou échecs, comme de ses acquis ? Certainement pas. Le plus ridicule, c’est que leur slogan se résume à : « pour préparer l’avenir, il faut oublier le passé » qu’ils ignorent de fait et volontairement !

JLP@

27 octobre 2024

Notation de la France : Moody’s attribue un 18/20 !

Moody’s s’est prononcée. La tension était vive sur les plateaux. La bourse reste attentive, mais sans souci. La presse prête à réagir. Quant à nos politiques et experts, leurs commentaires, ils se plaisaient à nous affoler. Et voilà le résultat : AA2. On croit rêver ! La France s’en sort avec un 18/20, mention très bien. On comprend mieux pourquoi depuis des années, déficit et dette ne dérangent pas nos gouvernants. Avec une aussi bonne note, il n’y a rien à craindre. Vingt ans pour passer de 19 à 18/20, tout le monde est indifférent aux critiques des agences !

Samcha96@

25 octobre 2024

UN REGARD SEPTIQUE SUR LA CHANCE DE RETROUVER RAPIDEMENT LA CONFIANCE !

Le Pouvoir et le gouvernement sont entrés dans une longue période d’incertitude. Les premiers pas sont difficiles. La discussion budgétaire, si on parler de discussion en est la preuve. L’absence de majorité conduit à un désordre parlementaire qui masque les difficultés dont la France et ses citoyens ressentent déjà les conséquences. Après les commentaires de nos partenaires, les notations des agences et mise en garde du FMI. L’image de la France est atteinte. Le contexte international contribue à détourner l’attention : les guerres en Ukraine et au Proche-Orient avec Israël face à 7 fronts. Deux autres évènements mondiaux bouleversent l’ordre mondial : le « rendez-vous » élargi des BRICS, organisé en octobre par la Russie à Kazan, et bien entendu, le résultat de l’élection présidentielle américaine.

Au fil de l’info de la semaine

L’état de la composante budgétaire n’a pas fini de déranger

Il faut bien le reconnaître, comme on dit on n’est pas sorti de l’auberge. Sauf qu’ici, je ne sais ^pas si nous sommes assis à table. Les finances publiques connaissent une dérive historique. L’urgence d’une réponse budgétaire crédible ne marche pas. Les ministres et les blocs parlementaires se tirent dans les pattes. Le projet de loi de finances en discussion à l’assemblée est dans l’impasse. Si on en croit les commentateurs, les politiques au pouvoir, il y a quelques mois, sont toujours acharnés à montrer qu’ils étaient les meilleurs. Mais, responsables de l’état de nos finances, en panne d’inspiration, ils ne savent que critiquer toute initiative.

Denis L. (IdF)

19 octobre 2024

Les Suisses travaillent 42 heures en 4 jours et demi !

Nous pratiquons le télétravail donc on ne sait pas quel est le temps réel de travail effectif. Dans l’entreprise, avec les pauses, café, pauses cigarettes à plusieurs le temps de travail effectif n’est pas de 35 heures mais plutôt 30 heures quant à la fonction Publique les 30 heures sont souvent difficilement atteintes.

BCLT_JV@

17 octobre 2024

UNE DISCUSSION BUDGÉTAIRE 2025 SANS FIN, SUR FOND DE GUERRE AUX CONFINS DE L’EUROPE ET AU MOYEN-ORIENT

La discussion du budget 2025 retient toute notre attention. La réalité du déficit, estimé à plus de 6% du PIB, est inquiétante. Les écarts et les surprises de dernières minutes perturbent aussi bien notre nouveau gouvernement qu’une très grande partie de nos parlementaires. Devant les faits, dans la précipitation, comment arriver à retrouver les moyens de prévoir un recul du déficit de 2% pour l’an prochain, soit plus de 60 milliards de dépenses en moins entre la part d’économies de l’État et celle des citoyens et des entreprises ? L’actualité internationale attendue et inquiétante avec la guerre au Moyen-Orient. En Ukraine, l’information et la communication n’occupent plus la même place dans les médias. L’élection américaine approche. Les perspectives d’une forte croissance d’une immigration illégale non maîtrisée oblige la Commission européenne à revoir sa copie et à changer d’avis.

Au fil de l’info de la semaine