Brexit : un pas en avant, un pas en arrière et un pas de côté...

Comme je l’avais déjà dit la Chambre des Lords freine des quatre fers pour retarder le dépôt officielle de la demande d’activation de l’article 50 de l’Union européenne par Theresa May. Le problème des Britanniques est que si ils déposent cette demande sans un texte fixant les grandes lignes de négociation, les Britanniques risquent d’entamer les négociation sans texte cadre. Alors, un pas en avant, un pas en arrière et un pas de côté, c’est une affaire à suivre et qui ne fait que commencer…

RICM78@

8 mars 2017

Parler pour ne rien dire, la campagne électorale va-t-elle reprendre ses droits ?

Une comédie d’exception pour arriver à une conclusion du premier ordre, en attendant la suite… Entre tous, chacun y va de ses tirades, avec ses slogans et plus ou moins de conviction. Depuis plus d’un mois, la campagne est perturbée et chacun parle pour ne rien dire. Alors la campagne reprendra-t-elle ses droits ? Je finis par en douter sérieusement !

Henri M. (Paris - IdF)

6 mars 2017

Pourquoi ne pas vouloir voir la vérité en face…

J’ai relu soigneusement votre article à la Une : « En 2017, que penser de l’Union Européenne ? » En reprenant un article de Joseph E. Stiglitz du début de 2016, les trois volets de l’analyse de Georges Séguin confortée par la vidéo des Experts de l’intervention de Charles Gave (que je vous conseille) je pense que tout est dit. Mais il n’est pire sourds que ceux à qui on bouche les oreilles pour que les médias ne laissent filtrer que le politiquement correct sur L’Union européenne !

Aristote@

5 mars 2017

Accès ou retour à l’emploi : 86% de CDD

A propos des contrats de travail distribués aujourd’hui. Il faudrait peut-être arrêter de nos raconter des « salades » avec des graphiques qui ne sont pas commentés ! J’imagine que vous savez que si les CDI sont statistiquement majoritaires (87%), pour 100 contrats proposés en ce moment, 86% sont des CDD. Ils concernent les jeunes (début de carrière) et les (anciens) chômeurs.

Christian M. (Loire Atlantique)

A propos de la dette et du taux des emprunts

La France consolide ses emprunts à long terme avant la forte augmentation des taux. Il est vrai que nous ne sommes pas les seuls ! D’après JP Morgan, 28 % des obligations émises par les Etats de la zone euro depuis janvier ont une durée de vie supérieure à 10 ans. 50% d’augmentation depuis 2014 avant la mise en place du programme d’achats de dette de la Banque centrale européenne (BCE).

Lessetb45@

4 mars 2017

Pourquoi faut-il se taire en ce moment ?

Je dois dire que je suis surpris, mais l’exercice ne doit pas être facile. Vous recevez, c’est évident, des commentaires politiques sur la situation en France avec l’élection présidentielle. Vous vous gardez bien d’y répondre sur le Blog…

Vous avez vos opinions et vous vous obligez à rester en recul par rapport à cette actualité. Ça ne doit pas être évident, mais vous avez adopté cette attitude... Soit, mais j’aurais tellement aimé vous lire et connaître votre point de vue sur la situation politique pendant cette campagne électorale…

Marsupilami77@

Renégocier le projet européen… Pourquoi pas ?

Il sera évidemment coûteux de sortir de l’UE, mais peut être serait-il plus « cool » d’en renégocier le statut actuel européen. Tu en parlais, il y a quelques années, une Union à plusieurs étages, 6 à 7 Etats pouvant constituer le « noyau dur ». Mais avant tout, il faudrait une UE différente, au plan social, économique et financier. Tu vois, on serait alors loin du concept allemand qui n’a cessé d’appauvrir à son avantage les pays les plus en difficulté au nom de la rigueur et de l’austérité. Pourquoi pas ?

Jean-Pierre A. (La Teste - Gironde)

1er mars 2017

Des satisfactions encourageantes…

Je voulais vous faire part de mes satisfactions quand je reçois votre Lettre de Club Espace 21. Les articles sont bien développés et c’est encourageant. C’est une bouffée différente qui interpelle, même si on n’est pas forcément toujours d’accord avec tout. En cette période présidentielle, je suis sûr que vous auriez certainement beaucoup à dire et à écrire. Mais j’apprécie aussi que vous n’alliez pas vous engager dans un tel chantier…

Gilles B. (Lille - Nord)

25 février 2017

La diplomatie française est-elle définitivement sinistrée ?

La diplomatie française est dans un état incompatible avec la position que la France doit soutenir à l’international. La France doit être forte pour exister et s’affirmer dans un monde ou les défis sont immenses : par rapport aux Etats-Unis et son Président Donald Trump, au Royaume–Uni et la gestion du Brexit , au sein de l’Union Européenne.

Tous les clivages qui se multiplient entre Etats : Est-Ouest, Nord-Sud, riches-pauvres, fourmis-cigales, euros-hors euro, etc. ne font que s’accentuer et s’affirmer vis-à-vis d’une Chine hégémonique, d’une Russie nostalgique de son empire et du pouvoir tsariste. Mêmes situations face aux crises du monde musulman, au Proche et au Moyen-Orient, en Afrique, Asie du sud à propos des migrations, du réchauffement climatique, aux nouvelles formes de communication numérique et d’économie intangible, etc.

On a trop tendance à oublier que la marge de manœuvre de la France pour la gestion de ses affaires intérieures est pour une large part tributaire de sa position sur les échiquiers internationaux et européens. J’invite tous nos candidats à la présidentielle à y réfléchir et à en parler…

RICM78@