De quoi je me mêle ? Pour qui roule-t-il ?

Animateur sans talent et journaliste conditionné, il passe son temps à interrompre en permanence les débatteurs. Il les empêche de finir leurs phrases, contredit leurs propos et argumentaires et se mêle au débat en contrant ceux qui ne lui plaisent pas. Toujours avec un sourire narquois et un ricanement mécanique, il fausse le débat et irrite jusqu’à la colère ses interlocuteurs. Demandez à Luc Ferry, il vous dira de qui il s’agit !

Yenamar75@

8 mars 2024

J.O. : une présentation, coup de pinceau

Arrivent les Jeux Olympiques. Fameux J.O. tant attendus. Et voilà que la situation se complique. Les discours ne sont pas conformes aux engagements pris pas plus qu’ils ne coïncident avec les réalisations sur le terrain. Je n’ose pas parler du budget, ni du coût de la sécurité. L’affiche proposée et présentée me fait honte. Rien d’olympique, politique jusqu’au bout du pinceau...

Guyau D. (IdF)

6 mars 2024

Oui, ça va mal en France, il faut le dire

C’est vrai que c’est difficile de faire un commentaire sur l’actualité. Mais après tout, il n’est pas précisé qu’on ne peut pas. Sur le site, je vois bien que ça tourne autour du pot. Alors je veux passer un message et qu’il n’y aura pas d’objection. On se connaît, c’est parfait. Alors dites le ce n’est pas faire de la politique que dire quand les faits nous prouvent que ça va mal en France et que ça ne doit pas rester dans l’indifférence ! Alors je le dis. Chacun s’y retrouvera…

Véronique V. (IdF)

Des troupes françaises au sol en Ukraine : Ce n’est pas à exclure ?

Des troupes officielles françaises en Ukraine pour aider et former les Ukrainiens ? Macron brise un tabou dans l’espoir de dissuader Poutine. 68% des Français. La majorité des pays européen dont l’Allemagne s’y opposent. Les États-Unis n’approuvent pas ces écarts et refusent d’envoyer des troupes. L’OTAN condamne cette option. Un isolement supplémentaire sur le plan international pour paraître qu’il est difficile à comprendre. De messages en messages, L’exécutif détourne l’attention du public pour éviter d’aborder les problèmes en cours, la réalité de faits et la situation économique, sociale et stratégique de la France. Avec une action quotidienne qui se répartit dans un mélange de communication agricole, militaire et constitutionnelle, dans un contexte d’élections européennes...

Au fil de l’info de la semaine

2 mars 2024

Le libre échange européen au service de l’euro

Quand on voit, avec la guerre en Ukraine, le coût économique et financier croissant pour la France et pour l’Europe, on comprend les difficultés chez nous. Ce n’est pas fini... Alors qu’en pense les Français. Toujours muets, ils se laissent embarquer sous couvert du « tout va bien…, j’ai toujours raison… » . L’euro et la BCE sont là pour rappeler qu’il vaut mieux se taire. Nos amis allemands veulent continuer à vendre leur Mercedes et leur Audi vers leurs fournitures de métaux rares en échange de marché agricole de pays amis : Chili, Nouvelle Zélande, Nigéria et bientôt, Brésil et Mercosur... Après le Salon et le conflit agricole dans l’UE, reconnaissons que tout va bien !

Betacompta45@

Parler de l’emploi, c’est bien, avoir des résultats c’est mieux…

Je vois que tu en remets une couche pour l’activité et l’emploi. Il faut envoyer au Premier ministre ton bouquin sur l’emploi. « L’emploi, c’est tout de suite ! » Comment remettre au boulot 1 million de chômeurs et sans-emploi et faire 10 milliards d’euros d’économie. Il y a dix ans, avant de l’écrire, ça avait interpellé. Les politiques en parlaient. Puis « plouf… », on a changé de système. L’approche n’est plus la même, on réduit le nombre de chômeurs indemnisés. Je peux comprendre, mais ils seront toujours sans emploi ! J’invite les lecteurs à lire ton livre et à te le réclamer.

JML@

27 février 2024

UNE OUVERTURE AGITÉE DU SALON DE L’AGRICULTURE…

Le salon de l’agriculture a ouvert ses portes. Le malaise du monde agricole est loin d’être apaisé. Les motifs et les raisons profondes des conflits sont exposés dans la presse et les médias. Les obstacles sont nombreux : niveaux de salaires, coûts de production, moyens financiers, contraintes écologiques, etc. Ils concernent à la fois le plan national, européen et international. Le « réponse à tout » classique de l’Exécutif et du gouvernement ne suffisent plus. Les « politiques » toutes tendances confondues entrent en jeu. La complexité est telle que plus personne ne s’y retrouve. Après l’échec du débat national qui était prévu et adulé, les interventions du Chef de l’État pour ne pas dire les confrontations avec les agriculteurs en présence des forces de l’ordre n’ont pas convaincu. La guerre en Ukraine et la très forte augmentation des importations non taxées ont bouleversé la donne. A Bruxelles, les manifestations des agriculteurs venus de l’ensemble de l’Europe se multiplient. L’Union européenne et la PAC sont hors-circuit et remises en cause.

Au fil de l’info de la semaine

23 février 2024

UE : Ursula Van der Leyen ne s’en va pas. Elle veut rester…

Après quelques mois de tergiversations, les prévisions de carrière d’Ursula Van der Leyen ont changé. Pressentie au secrétariat général de l’OTAN, elle renonce ou on n’en veut pas. Donald Trump peut arriver. Pour l’Ukraine, ce n’est pas gagné. Elle reste et veut appliquer son programme vers une Union fédérale européenne. La France, l’Allemagne et le « Bénélux » sont ses grands supporters. Pour diriger l’Union européenne, il lui suffit de le vouloir. Elle n’a pas besoin d’être élue. La réalité d’État-nation va très vite disparaître. La souveraineté européenne est en « bonne » voie.

Sophie7506@

21 février 2024

LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ÉDITORIALE DÉRANGE DANS L’AUDIOVISUEL ?

Oublions les raisons essentiellement politiques et la "cible choisie" qui ont amené le Conseil d’État à faire ses recommandations et ses injonctions à l’ARCOM pour proposer des solutions. La presse écrite est libre et subventionnée. Les radios s’accommodent. C’est l’audiovisuel qui dérange. Il serait préférable de dire une fréquence "CNews" ! Les réseaux sociaux comme Club Espace 21 sur Internet ne sont pas concernés par ces règles et ces mêmes élucubrations. Le Site est considéré comme un journal numérique avec une ligne éditoriale. Comment peut-on simplement imaginer qu’en France, en 2024, l’expression d’opinion et l’information soient soumises à une identification politique de l’éditorialiste, de l’auteur, de l’animateur, des participants et bientôt, de l’auditeur, du téléspectateur ou du lecteur ? Doit-on aussi imaginer avec l’IA la capacité de changer de couleur politique en temps réel en fonction des nuances ou des changements de points de vue exprimés au cours d’un débat ou d’une interview !

Au fil de l’info de la semaine