L’état de la composante budgétaire n’a pas fini de déranger
Il faut bien le reconnaître, comme on dit on n’est pas sorti de l’auberge. Sauf qu’ici, je ne sais ^pas si nous sommes assis à table. Les finances publiques connaissent une dérive historique. L’urgence d’une réponse budgétaire crédible ne marche pas. Les ministres et les blocs parlementaires se tirent dans les pattes. Le projet de loi de finances en discussion à l’assemblée est dans l’impasse. Si on en croit les commentateurs, les politiques au pouvoir, il y a quelques mois, sont toujours acharnés à montrer qu’ils étaient les meilleurs. Mais, responsables de l’état de nos finances, en panne d’inspiration, ils ne savent que critiquer toute initiative.
Denis L. (IdF)
19 octobre 2024
Les Suisses travaillent 42 heures en 4 jours et demi !
Nous pratiquons le télétravail donc on ne sait pas quel est le temps réel de travail effectif. Dans l’entreprise, avec les pauses, café, pauses cigarettes à plusieurs le temps de travail effectif n’est pas de 35 heures mais plutôt 30 heures quant à la fonction Publique les 30 heures sont souvent difficilement atteintes.
BCLT_JV@
17 octobre 2024
UNE DISCUSSION BUDGÉTAIRE 2025 SANS FIN, SUR FOND DE GUERRE AUX CONFINS DE L’EUROPE ET AU MOYEN-ORIENT
La discussion du budget 2025 retient toute notre attention. La réalité du déficit, estimé à plus de 6% du PIB, est inquiétante. Les écarts et les surprises de dernières minutes perturbent aussi bien notre nouveau gouvernement qu’une très grande partie de nos parlementaires. Devant les faits, dans la précipitation, comment arriver à retrouver les moyens de prévoir un recul du déficit de 2% pour l’an prochain, soit plus de 60 milliards de dépenses en moins entre la part d’économies de l’État et celle des citoyens et des entreprises ? L’actualité internationale attendue et inquiétante avec la guerre au Moyen-Orient. En Ukraine, l’information et la communication n’occupent plus la même place dans les médias. L’élection américaine approche. Les perspectives d’une forte croissance d’une immigration illégale non maîtrisée oblige la Commission européenne à revoir sa copie et à changer d’avis.
Au fil de l’info de la semaine