Oublier les Chinois qui se sont imposés : c’est le vrai déni…

Le seul déni qui explique tout, c’est le déni a l’origine de la domination chinoise, c’est celui des constructeurs européens qui durant 10 ans ont dénigrer le VE, pire, qui l’on combattu. L’écart entre nos constructeurs et les constructeurs chinois est alors de 20 ans ! Et c’est au même Tavares que l’on doit de se vendre en faisant croire qu’il achète un savoir-faire chinois ! (…) Encore juste un mot sur l’indépendance énergétique, qui ne peut exister qu’en s’appuyant sur son Soleil de façon directe ou indirecte.

Serge R. - astrophysicien (IdF)

28 novembre 2023

Voitures électriques : pas de raisons d’être pessimiste…

Dans votre article, vous n’évoquez pas l’implantation en Europe de nouvelles usines pour fabriquer des batteries et des voitures électriques, ni même que les prévisions de prix des voitures électriques sont en baisse très significative, ni même que le prix des batteries devrait assez rapidement descendre en dessous des 100 € le Kw (soit environ la moitié du prix pratiqué il n’y a ne serait-ce qu’il y a 3/4 ans), ou encore que des développements de batteries sodium ion sans produits rares sont très prometteur. J’en oublie sans doute mais peut-être avez-vous raison…

Vax33@

DE RETOUR AU QUOTIDIEN SUR FOND D’UNE OPINION MAL A L’AISE

Le retour à l’actualité en France est inévitable. Au-delà d’un conflit « sans nom » et de longue durée, entre Israël et le Hamas, les conséquences de ces drames se retrouvent partout en France. Les victimes et les qualificatifs associés ne manquent pas. Le gouvernement se met en retrait. Ne rien dire ou interpréter les faits revient trop souvent à favoriser le « déni de réalité ». L’assemblée se retrouve désormais autour du projet sur l’immigration. En parallèle, les autres projets de loi et les décrets abondent. Le catalogue des annonces ne cesse de s’agrandir. En général, truffé de promesses optimistes, elles se multiplient. Qu’en sera-t-il demain ? Au milieu d’un brouhaha à l’assemblée, difficile à décoder, l’opinion publique est mal à l’aise. Elle se limite à revenir aux fondamentaux, la sécurité et le pouvoir d’achat…

Le fil de l’info de la semaine

Crépol, une France de plus en plus fracturée ?

C’est la question qu’avait posée Laurent Ruquier dans son émission à 20h sur BFMTV cette semaine. Le drame de Crépol avec la mort du jeune Thomas a confirmé le climat actuel. Oui la France profonde est inquiète de cette fracture. Rédacteur en chef dans la revue Regards, il s’est permis d’élargir la faille. Il a insisté en plein brouhaha en jugeant que « le drame de Crépol n’était pas plus grave que ceux relatés dans la guerre des boutons ». Très présent sur cette chaine, il représente les contestataires, un goût anarchiste, nécessaire aux exigences de l’ARCOM !

Marianne26@

23 novembre 2023

Pourquoi parler de la dette, on s’en fout !

Ce que je constate c’est que pour la dette, ce n’est jamais de notre faute. C’est la BCE qui gouverne et l’Allemagne qui a toujours fixé les règles du jeu. Ça ne dérange personne. On la sort quand on a besoin de faire peur au peuple et on ne maîtrise plus rien. Même plus notre place au classement européen. Encore un petit effort et on tiendra la queue ! On n’en parlera plus…

Betacompta45@

22 novembre 2023

Batteries non réparables : vive la pollution !

Avec le déni de réalité évoqué à la « Une » par le Club pour l’avenir de l’électrique, je recommande l’article paru dans les Échos d’aujourd’hui (22 novembre). Il dénonce les difficultés de réparation des batteries pour les véhicules électriques. Les coûts trop élevés et les difficultés trop importantes invitent à faire des batteries non réparables. Vive la pollution : nous y sommes !

Franck B. (M-P)