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Archives

12 juin 2014

J’ai terminé la lecture de ton ouvrage… J’y ai pris beaucoup d’intérêt et t’en remercie. C’est, comme tu sais le faire, un excellent outil pédagogique de compréhension de la situation française et par extension européenne de l’emploi. Ta proposition mérite d’être connue et examinée par les instances responsables et il faut trouver des moyens efficaces de le faire. Et dans les meilleurs délais…

Jean-Claude A. (Andernos - Aquitaine)

9 juin 2014

Décidemment, nos politiques et nos experts « reconnus » manquent d’imagination ! Comment n’ont-ils pas encore compris que c’est de la l’activité que vient la croissance et non l’inverse. J’en ai parlé avec des amis. Quelle évidence : C’est l’activité qui génère la croissance et non l’inverse. On n’attend pas la croissance au coin du bois pour la croquer à pleines dents comme le proposer un prédécesseur…

Vincent L. (Paris – IdF)

7 juin 2014

ASSOCIATION POUR LA PROMOTION DU MICROCRÉDIT
PERSONNEL ET PROFESSIONNEL


 

« L’activité crée de la richesse et favorise la croissance ». C’est une évidence comprise que par les entrepreneurs dignes de ce nom. On ne doit pas attendre la croissance. Jacques Martineau le rappelle et s’est attaché à le démontrer dans son livre « L’EMPLOI… C’est tout de suite ! ». Sa proposition de contrat tripartite, entreprise-assurance chômage-formation professionnelle destiné aux TPE, PE et ME doit leur permettre d’exploiter les innombrables gisements d’activité latents en s’affranchissant de l’obstacle que représente aujourd’hui le coût du travail. Pourquoi ne pas mettre en place rapidement un tel dispositif facilitant le retour à l’emploi de plusieurs centaines de milliers de chômeurs et de sans emploi, exclus du monde du travail ? Sachant que la politique de la « main tendue » en permanence tournée vers les « pouvoirs publics » n’est pas la solution non plus, l’option proposée constitue un contrat « gagnant-gagnant » pour toutes les parties. De plus, l’Etat en sort aussi bénéficiaire. Mais ce sera une lourde tâche pour tous pour y parvenir. Il faudra neutraliser des féodalités syndicales, patronales et salariales, et ne pas hésiter à éliminer ces rentes de situation. Dans les faits, a-t-on d’autres choix dans la situation actuelle que de tester ce dispositif ? Ou faut-il encore attendre, comme ‘sœur Anne’, avec des yeux hagards, en vain et toujours le retour de la croissance ?

André Leplus-Habeneck
Membre fondateur d’APROPOS

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