Le Royaume-Uni et le Brexit : un dossier complexe difficile à mettre en oeuvre !

J’avais déjà évoqué les risques d’un Brexit pour l’unité du Royaume-Uni (Irlande du Nord, Ecosse et Gibraltar). Sans revenir là-dessus, actuellement les journalistes politiques (sérieux et informés) sont d’accord Theresa May ne sait pas ou elle va, elle n’a pas de stratégie (comme la plupart de nos politiques en France d’ailleurs !)

Le gouvernement Britannique n’arrive pas à recruter les fonctionnaires compétents pour prendre en charges tous les volets du BREXIT et ils sont nombreux car il y a non seulement l’UE mais également les pays membres avec lesquelles le Royaume, maintenant désuni, a des relations France, Belgique, Hollande, Irlande, Espagne, etc.., les organisations internationales par exemple pour le nucléaire l’AIEA et Euratom l’OTAN etc.

RICM78

16 novembre 2016

Le « Macron nouveau » est arrivé…

Emmanuel Macron s’est décidé, aujourd’hui, la veille de la date du « Beaujolais nouveau » ! Il a déclaré officiellement sa candidature à la Présidence de la République. Droite et gauche confondues ne peuvent être surprises, mais, pour le moins, elles sont confondues. Chacun des candidats aux primaires dans les deux camps et membres du gouvernement mobilisés se disputent pour tenter de minimiser l’impact potentiel de cette déclaration. Encore faudra-t-il être patient pour en mesurer réellement l’impact. Mais le coup est direct…

Philippe T. (IdF)

15 novembre 2016

Donald Trump est Président des Etats-Unis, il ne faudrait pas l’oublier…

Si Donald Trump n’inspire pas pour l’instant une sympathie particulière chez nos « politiques », il est dorénavant le Président de la première puissance mondiale et à ce titre, il ne faudrait pas l’oublier. Il va falloir parler avec lui, comme nous aurions dû déjà le faire avec Vladimir Poutine. Une fois de plus, les insultes et les anathèmes des médias et d’irresponsables politiques vont empêcher notre pays d’assumer un rôle d’arbitre indépendant.

Je crois qu’il serait bon de se rappeler de ce que disait Hubert Védrine : ’’ Si on méprise, et si on ne parle pas aux personnes qui ne partagent pas vos idées, on n’a peu de chances non seulement de les convaincre, mais encore on les ancre dans leur convictions.’’

Aristote@

Et si Natacha Polony avait raison…

Je voulais simplement faire part à nos lecteurs d’un point de vue pertinent de Natacha Polony. Elle écrit dans un article récent :

« Les classes moyennes ont été le pilier sur lequel s’est bâtie puis consolidée la démocratie. Elles ont soutenu les régimes qui , en renouvelant leurs élites offraient l’espoir de voir leurs enfants vivre mieux qu’elles.

Tout au long du XXème siècle, elles ont choisi le capitalisme contre le communisme, signant une alliance de fait avec les classes dominantes. Tous les progrès sociaux de l’après guerre, la protection sociale, la répartition de la valeur ajoutée furent conquis sous la menace du communisme.

A partir du moment où ce dernier s’effondré, les classes moyennes ne sont plus d’aucune utilité. Se remet en place un capitalisme dans sa forme brutale et prédatrice. »

Cela invite à la réflexion !

MG83@

10 novembre 2016

Les réseaux sociaux et Twitter désormais à la « Une »

Ce qui me préoccupe aussi c’est l’influence croissante de twitter et autres réseaux dits sociaux désormais à la « Une ». N’importe qui peut y déclarer ce qu’il veut, même insulter, sans que l’on puisse le démentir ou le contredire efficacement. Un bref message affirmant une contre vérité de façon péremptoire nécessitera un plus long développement pour recadrer son auteur. Qui le lira parmi les habitués de ces réseaux ?

ALPH31@

9 novembre 2016

Personne n’a rien vu venir ?

Ma première réflexion porte sur l’aveuglement des tenants du système, journalistes, instituts de sondage, experts en tout genre qui ne considèrent que leur pré carré. Eux et eux seuls. Ils ignorent tout de ce qui se passe hors périphérique. La même chose s’était produite chez nous en 2005 pour le référendum sur l’Europe ; internet a battu les sondages habituels.

ALPH31@

Donald Trump à la Maison Blanche : chacun de nos politiques y va de ses commentaires !

L’arrivée « surprise » de Donald Trump à la tête des Etats-Unis incite à des dizaines de commentaires de nos politiques. Chacun y va de ses « mots » et de ses « états d’âme » :

« Après le Brexit et cette élection, tout est désormais possible. Un monde s’effondre devant nos yeux ». Avant d’évoquer « la fin d’une époque celle du néolibéralisme. » Gérard Araud (ambassadeur de France à Washington)

« L’élection de Donald Trump exprime le refus d’une pensée unique… Le message du peuple américain doit être entendu et respecté en sachant en tirer les conséquences… » Nicolas Sarkozy

« Ce qu’il (le nouveau président des Etats-Unis) a dit provoque des inquiétudes… Beaucoup de questions se posent… Nous sommes dans un monde incertain... » Jean-Marc Ayrault

Pour Marine Le Pen, l’élection de Donald Trump : « Ce n’est pas la fin du monde, mais la fin d’un monde ! »

« Cette élection ouvre une période d’incertitude… Je dois l’aborder avec lucidité et clarté… Je vais en discuter avec la nouvelle administration américaine avec vigilance et franchise. » François Hollande

Alain Juppé a pris « acte de la décision souveraine du peuple américain » et mis en garde les Français contre « les risques que la démagogie et l’extrémisme font courir à la démocratie ».

Je laisse à chacun d’entre vous le soin de juger de la pertinence de ces propos, témoignages de l’appréciation de nos politiques en fonction de leur « propre » intérêt.

Samcha96@

4 novembre 2016

"Primaire"..., vous avez dit "primaire" ?

Le mot ’’primaire’’ me semble bien convenir au pitoyable exercice de « télé-réalité » auquel nous avons assisté hier soir et qui pourrait s’intituler ’’Les Chtis à L’Elysée’’. N’ayant à la bouche que des mots pour restaurer l’image de la fonction présidentielle, comment ces prétendants ne peuvent-t-ils ne pas sentir qu’en se prêtant à ce spectacle animé par trois “inquisitrices” dans l’inconscient desquelles est dissimulée l’ivresse de penser qu’elles ont en main le choix du candidat.

Qu’ils se ravalent au niveau des candidats de n’importe quel jeu télévisé ’’Comment gagner des millions ?’’, ’’La roue de la Fortune ’’, "Comment gagner L’Elysée ?’’ etc. Imagine-t-on Charles de Gaulle ou François Mitterrand participant à cette forme de “guignolade” ?

Aristote@