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Savoir mobiliser pour réussir...

C’est une des clés pour l’emploi !

La courbe du chômage n’est pas prête de s’inverser. Le retour de la croissance, s’il est faible et peut-être progressif jusqu’à 1,2% en 2015, est encore insuffisant. Les "experts" requièrent un taux supérieur à 1,5% annuel pour une création nette d’emplois. En l’occurence : parler d’une inversion réelle de la courbe du chômage n’est pas pour dans l’immédiat. Pour autant, il ne faut pas rester les bras croisés à attendre. Comme nous l’avons répété à maintes reprises , "c’est l’activité qui crée la croissance et non l’inverse".

Source : initiativesetcite.com

La création d’emplois, dans un contexte plus favorable ne dépend pas que de la conjoncture économique et du marché. Plus que jamais, un patron a besoin désormais de s’attacher à rassembler le maximum de compétences et de talents autour des valeurs auxquelles il croit pour conduire avec efficience son entreprise et réaliser ses objectifs. Ce resserrement du lien relationnel au profit de l’entreprise et des hommes qui la composent est valable pour tout, partout à tous les niveaux, sans distinction de taille ou de nature d’activité…

Combattre l’immobilisme fonctionnel

Le parasitage de l’action dans l’entreprise se traduit par des affrontements permanents, des conflits au quotidien, trop souvent inutiles. Trop de questions restent sans réponse. Trop de décisions ne sont jamais suivies d’effet. Tant retards n’ont aucune raison d’être. Que dire de ces urgences qui ne sont que des négligences ? Il faut chercher à répondre présent, examiner ces freins à la vie de l’entreprise, apporter des réponses et encourager les gestes qui favorisent la performance. Ces murs d’inertie caractérisent un immobilisme fonctionnel. Ce parasitage de l’action est aussi présent dans le privé que dans le public. Les grandes entreprises en souffrent. Mais le mal touche aussi petites et moyennes structures.

Source : formation-entreprise-71

En la matière, le discours ne suffit pas. Toute la difficulté des responsables qui sont aux commandes va être d’arriver à concilier l’inconciliable. C’est tout l’art du manager. Les femmes et les hommes, avec leurs qualités et leurs défauts, constituent la richesse et la faiblesse de l’entreprise. Ce sont eux qu’il faut mobiliser. C’est seulement en mobilisant l’intelligence, toute l’intelligence dans l’entreprise que les responsables parviendront à comprendre les problèmes et à apporter des solutions.

Favoriser le leadership, la créativité et l’innovation

À partir d’un contrat clair, s’appuyant sur un ensemble reconnu de valeurs partagées, dans une expression claire, faisant appel à une communication directe, le patron est en mesure de stimuler et de rassembler toutes les compétences de son entreprise. Il importe de concilier les besoins et les attentes de l’entreprise et des hommes. Surtout ne pas mésestimer le nombre important de salariés qui ont le goût du travail et de l’effort pour eux-mêmes et pour leur entreprise. La passion du métier se rencontre tous les jours, dans tous les métiers. Le respect doit entraîner le respect. Confier une responsabilité, renforcer l’initiative, sont des éléments moteurs de la mobilisation.

Source : Le Journal des entreprises

La créativité et l’innovation se cultivent. Beaucoup d’individus ont l’esprit d’entreprise. Pour préparer le changement progressif et parvenir à la mobilisation, il faut rompre la monotonie et proposer des défis. Écouter, comprendre et proposer, sont autant de besoins qu’il convient de satisfaire. Souvent de simples détails, auxquels le patron prête attention, peuvent aider à ouvrir les esprits vers l’essentiel. La créativité et l’innovation ne décrètent pas, pas plus que la réussite. De la trouvaille à la découverte essentielle le chemin est long. Le travail en équipe favorise la créativité et l’initiative, dès lors que ces actions sont reconnues par tous. Récompenser à bon escient est déterminant.

Communiquer le goût d’entreprendre

L’esprit d’entreprise doit être potentiellement très présent. L’individu est toujours stimulé par le plaisir d’entreprendre. Le rôle du patron est de parvenir à l’encourager. La communication est fondamentale. L’échange sur le fond et dans le détail permet de mieux connaître les attentes de l’individu et ses motivations cachées. Mobiliser l’intelligence n’est pas l’apanage du seul responsable. S’il en a le devoir, il n’en a pas le monopole, heureusement. C’est le collectif et l’exemple qui sont souvent les véritables catalyseurs de la plus forte mobilisation. Faut-il encore avoir la volonté de s’engager et savoir communiquer le goût d’entreprendre ?

JM

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