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LA DETTE PUBLIQUE : UNE FACE CACHÉE QU’IL FAUT RÉVÉLER !

Un mal français précieusement gardé sous silence…

Club Espace 21 a décidé de publier l’article de Jean-Baptiste Giraud, paru dans Économie Matin. Il permet de montrer la face cachée d’une situation financière que tous les gouvernements ont toujours considéré comme une information deuxième rang ! Il dénonce un véritable scandale financier qui dure depuis des décennies, en s’appuyant sur l’analyse d’une pléiade d’experts pour un constat accablant.

L’article démarre fort en référence au documentaire « Trois mille milliards : Les secrets d’un État en faillite », réalisé par l’association Contribuables Associés. Ce n’est pas une simple vidéo. C’est une bombe qui dévoile le silence complice entourant le plus grand scandale financier des 50 dernières années.


« La dette ne peut pas augmenter indéfiniment », avertit la chef économiste du Trésor » - source : Le Parisien

La dénonciation d’un système à bout de souffle

François Ecalle, ancien rapporteur général de la Cour des comptes, ne mâche pas ses mots. La dette publique ? Un gouffre sans fond, une dérive sans capitaine. Édouard Balladur lui-même, ancien Premier ministre, nous rappelle les responsabilités écrasantes qui pèsent sur les épaules de ceux qui ont laissé filer les rênes.

L’indignation face à l’irresponsabilité

Benoît Perrin, directeur de Contribuables Associés, Virginie Pradel, avocate fiscaliste, et Olivier Babeau, président de l’Institut Sapiens, s’accordent sur un point : l’indignation. Leurs voix s’élèvent pour dénoncer l’absurdité d’un système qui, de Jean-Michel Fourgous, maire d’Élancourt, à François Facchini, professeur à Paris-Sorbonne, illustre la démission collective.

Dette publique : les gardiens de la vérité

François Lainée, consultant, et Jean-Baptiste Leon, directeur des publications de Contribuables Associés, sont les gardiens de la vérité. Leur expertise révèle les dessous d’une crise qui n’a rien d’une fatalité mais tout d’une tragédie annoncée. Benoîte Taffin, Paul-Antoine Martin, Hervé Novelli, Charles Prats, Pr. Michaël Peyromaure, et Lisa Kamen-Hirsig, chacun à leur manière, pointent du doigt les erreurs d’un passé récent, d’une actualité brûlante.


Les avertissements servent-ils encore à quelque chose ? - montage Club Espace 21

Une décennie de décisions coûteuses sous Sarkozy et Hollande

La responsabilité de l’escalade vertigineuse de la dette publique ne saurait être attribuée à un seul homme ou un seul gouvernement, mais il est impératif de reconnaître les politiques onéreuses mises en œuvre sous les présidences de Nicolas Sarkozy et François Hollande. Le quinquennat de M. Sarkozy a été marqué par des mesures de relance en réponse à la crise financière de 2008, qui, bien que nécessaires à court terme, ont significativement alourdi la dette nationale. Par la suite, le gouvernement Hollande, malgré ses promesses de redressement, n’a pas réussi à inverser cette tendance, entretenant un modèle social onéreux et confronté à des taux de chômage élevés qui ont continué à gonfler le déficit public. Les réformes structurelles, souvent annoncées mais rarement concrétisées, sont restées des vœux pieux, laissant derrière elles une traînée de promesses non tenues et un fardeau financier accru.

Les mandats Macron : entre réformes et pandémie

L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron avait suscité un vent d’espoir quant à la mise en place de réformes économiques substantielles. Cependant, les deux mandats de M. Macron ont été synonymes de contrastes frappants. Si son premier quinquennat a vu certaines réformes ambitieuses, telles que la transformation du Code du travail et la réforme de la SNCF, le contexte de la pandémie de COVID-19 a exigé des dépenses publiques sans précédent pour soutenir l’économie paralysée. L’acte II de la présidence Macron est alors devenu le théâtre d’un endettement accru, sous le feu des mesures d’urgence économique. Les dettes accumulées pendant cette période de crise sanitaire mondiale ajoutent une couche supplémentaire à une montagne déjà imposante, projetant une ombre inquiétante sur les finances publiques et la viabilité économique des années à venir.


Le maximum d’impôts et taxes dans l’UE, même si l’impôt sur le revenu est le plus faible - montage Club Espace 21
L’appel à la révolte contre l’injustice

Il est temps de s’insurger contre ce scandale du siècle. La dénonciation des Contribuables Associés, est un cri de révolte, un réquisitoire implacable contre l’injustice d’un fardeau imposé aux générations futures. Les jeunes actifs sont appelés à se dresser contre l’héritage empoisonné d’une dette monstrueuse, fruit de l’irresponsabilité et de l’absence de vision des politiques aux affaires depuis au moins trente ans. Une reprise en main est encore possible, mais les sacrifices à exiger, désormais, pour sauver ce qui peut l’être, seront énormes... Mais c’est une autre histoire.

Jean-Baptiste Giraud (Economie Matin)

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