Depuis notre dernière rencontre, je n’avais pas eu le temps de lire votre livre. Toutes mes félicitations pour votre courage. Ce n’est pas si facile de s’exprimer avec simplicité et précision. Vous amenez progressivement le lecteur au pied du mur. L’Europe est dans une impasse. Les dogmes ne l’emporteront pas. « Si l’Union m’était contée » est un coup de pied dans la fourmilière.

Vincent L. (Paris – IdF)

J’ai lu avec beaucoup d’attention l’ouvrage de J. Martineau et aussi avec plaisir. Il a le mérite d’être clair et bien écrit. Les idées sont bien exprimées y compris dans les nuances. C’est un excellent ouvrage pour tout le monde et en particulier pour les étudiants qui doivent se forger une culture contextualisée sur l’Europe et ses problèmes.

Sur le fond, le constat d’une Union de « pays, chacun pour soi » devrait à mon sens conduire rationnellement à remettre en cause la frilosité de la souveraineté nationale à tous crins. Dans le même sens, le lecteur trouverait certainement à la fin de l’ouvrage l’opportunité de ce que pourrait être une véritable Europe fédérale ou une véritable Europe confédérale qu’il s’agisse de partage des compétences, de l’organisation générale de la structure européenne en matière politique, économique, financière, sociale et administrative. Cette dernière remarque n’entache en rien la qualité et l’utilité de cet ouvrage.

Jean-Claude A. (Andernos – Gironde)

Je l’ai lu complètement. Vous connaissant, je ne suis pas surpris de votre livre, tant pour la qualité de votre documentation que pour votre façon très personnelle d’appréhender les problèmes. Juste une remarque, vous n’êtes pas très indulgent avec la Chancelière allemande, sans pour autant renier l’impérative nécessité de l’amitié entre nos deux pays. Et si vous aviez raison ? Mais je ne partage pas pour l’instant votre point de vue. Vos idées sont originales, à méditer.

François S. (Melun – IdF)