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Mai 2024

  • Aux portes du pouvoir - RN, l’inéluctable victoire ?, Arnaud Benedetti, Le Moonde d’Arthur, 2024
    Le RN à l’Elysée : chronique d’un séisme annoncé. Marine Le Pen et le Rassemblement national peuvent-ils perdre la prochaine présidentielle ? Alors que la classe politique qui dirige le pays depuis près de quatre décennies est en butte à des records de défiance, de colère et de rancœur, l’héritière du FN, devenue une figure familière et rassurante, occupe aujourd’hui cette place centrale qui prédispose à diriger l’État. Nous plongeant dans la machine du RN à la veille d’une victoire qui, inconcevable il y a peu encore, semble aujourd’hui inéluctable,
  • La promesse, Anne Lauvergeon, Grasset, 2024
    « Fais ce livre dans dix ans, fais-le dans vingt ans. Fais-le quand tu voudras mais fais-le ! Promets-moi de l’écrire ». François Mitterrand. « Cet ouvrage est la réalisation de l’engagement que j’ai pris par une chaude soirée de juin 1994.
    La promesse aura attendu trois décennies avant de se muer en témoignage, où se dévoilent, par plans successifs, les visages multiples de ce personnage si secret. J’ai voulu montrer combien un homme – à plus forte raison un homme d’État – est plus proche de nous qu’on ne l’imagine.
  • Au bout de l’enquête - Saison 2, Allain Bauer, First, 2024
    Les plus grandes affaires criminelles passées au crible : Les plus grandes affaires criminelles passées au crible. Au bout de l’enquête (saison 2) revient sur une vingtaine d’affaires criminelles qui ont bouleversé l’opinion. Quelle que soit leur issue, elles ont précipité les familles des victimes et les enquêteurs dans des années de recherche, d’espoir, de déception, de rebondissements.
  • Les Cibles, Gilles Caetner, L’Artilleur, 2024
    Présentationde la guerre secrète entre juges et politiques - 1981 - 2024. Les présidents de la République qui se sont succédés depuis 1981 n’ont jamais manifesté une grande estime pour les juges. Emmanuel Macron montre qu’il veut être le maitre du jeu dans les promotions de magistrats, notamment ceux du Parquet, comme il l’a fait en nommant procureur de Paris, Rémy Heitz en 2018. l’auteur, fort d’une longue expérience à explorer les arcanes d’un monde souvent compliqué, mène la première grande enquête sur 40 ans de relations entre les juges et le pouvoir politique.
  • La Belle époque, Franz-Olivier Giesbert, Gallimard, 2024
    C’était le bon temps. Quand la France contemporaine nous accable, il suffit, pour aller mieux, de se ramentevoir celle des années 1970, rythmées par les films de Sautet, les chansons de Dalida, Nino Ferrer, Alain Bashung. Sous le signe - très masculin - de Pompidou, Giscard, Mitterrand, Barre, Rocard, Sartre et Mao, elles furent à la fois insouciantes, bourgeoises et révolutionnaires. Portée par une croissance économique incroyable, c’est la Belle Époque de la Vᵉ. Mais après avoir été frappée par deux chocs pétroliers très violents, elle a peiné à relever les défis qui se posaient : l’urgence écologique, le début de la désindustrialisation et du chômage, l’immigration, la perte de l’autorité, des repères...
  • Une brève histoire de l’économie, Daniel Cohen, Albin Michel ,2024
    Un récit étourdissant à mettre entre toutes les mains et surtout dans celles de ceux qui ne s’intéressent pas à l’économie." De la charrue au tout numérique en passant par le krach écologique et le nouveau capitalisme financier, Daniel Cohen replonge dans les grandes étapes de l’histoire de l’économie et de la société. Revisitant son oeuvre, il propose une réflexion sur la croissance économique, devenue la religion du monde moderne. Quels sont nos réels besoins ? Pourquoi les Français sont-ils moins heureux que les autres ? Jusqu’où va notre faculté d’adaptation à un modèle économique ?
  • L’Occident déboussolé, Jean-Loup Bonnamy, L’Observatoire, 2024
    Racisme, colonisation, esclavage : l’Occident, névrosé, s’accuse encore et toujours de tous les maux. C’est oublier que tous les peuples ont été tantôt conquérants, tantôt conquis et que l’esclavage a été pratiqué par toutes les civilisations. Et si cette éternelle autoflagellation, prétendument désintéressée, était en fait une façon paternaliste de rester au centre de l’attention ? Hier, l’Occident se présentait comme le bienfaiteur de l’humanité. Aujourd’hui, il prend la pose du grand méchant universel. Pour éviter notre suicide, nous devons en rabattre sur notre égocentrisme et notre haine de nous-mêmes, pour accepter l’idée de n’être ni meilleurs ni pires que les autres.

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